Ce fonds comprend une seule série : notes généalogiques, [1915] photocopiées en 1996. Il s'agit des notes généalogiques des familles acadiennes établies aux Îles-de-la-Madeleine vers la fin du XVIIIe siècle. La période étudiée s'étend jusqu'au début du XXe siècle.

Ce fonds est constitué des manuscrits (1998-2001), soit de textes écrits par Jean-Paul LeBlanc, ancien membre des escadrons de l'aviation canadienne lors de la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit donc de ses mémoires de guerre (1940-1945). On y retrouve aussi le manuscrit d'un essai historique sur la famille LeBlanc en Acadie " De Port-Royal au Village-des-LeBlanc ", 1998, de même qu'un autre manuscrit intitulé " Pier 21 : The Gateway That Changed Canada ", 1988.

Ce fonds comprend deux séries : journal (1934-1988) et photos ([188?]-1913). Le journal est un document important non seulement pour les renseignements biographiques (naissances, confirmations, mariages et décès) des membres de la famille de Hector Cormier et Olive Melanson, mais aussi pour plusieurs remèdes pour les animaux de ferme. La série photos contient des photos de Olivier Melanson et Henriette Allain, mariés 12 avril 1880, ainsi qu'une photo de la classe francophone de l'École Normale, Fredericton (N.-B.) en 1913. Toutes les élèves sont identifiées.

Ce fonds comprend deux séries : photos, [192?]-1996 et CD, [192?]-1996. Une collection de photos de familles et des descendants de Aimé à Fred Babineau et Agnès Maillet, de Chockpish, Kent (N.-B.).

Ce fonds comprend deux séries : mémoires (1995) et notes généalogiques (1995). Il s'agit des mémoires d'une mère de famille adressés à sa fille. Elle y raconte sa jeunesse, ses aspirations, son mariage avec un pauvre pêcheur du Cap-Pelé, la difficulté d'élever une nombreuse famille durant la Dépression. Le fonds contient aussi de l'information généalogique sur le couple Laurent Niles et Sara Thériault.

Ce fonds est composé d'une seule série : généalogie ([1994]), soit une étude généalogique de ses ancêtres, très bien faite, claire et précise. L'auteur y a joint de petits textes historiques comme introduction de chaque famille étudiée : LeBlanc, Gallant, Dupuis et Arsenault. Il constitue un exemple de l'intérêt grandissant pour la généalogie suite aux activités du Congrès mondial acadien de 1994.

Le fonds est composé d'une série de papiers personnels. Il comprend un curriculum vitae et deux coupures de journaux : photographie parue dans un journal de Llangollen, Pays de Galle (G.-B.) illustrant les membres de la chorale de l'Université Saint-Joseph qui participa au Festival international (1951) et qui remporta la première place et un article du journal « L'Évangéline » relatif à la bibliothèque de l'Université Saint-Joseph en novembre 1961, alors que le frère Omer Cormier est le bibliothécaire-en-chef.

Ce fonds contient de la correspondance que Ramona Godbout a échangée avec Cécile Maillet, Antonine Maillet, auteure, Prix Goncourt 1978 et Alphonsine Després, toutes les trois des amies qu'elle a connues durant ses années d'études chez les religieuses après la Seconde Guerre mondiale. Par exemple, des lettres d'Antonine Maillet, notamment celle où elle annonce son entrée au couvent de Notre-Dame du Sacré-Coeur en 1951. Quelques pièces concernent le théâtre en Acadie durant les années 1950. Nous y trouvons aussi un discours d'adieu prononcé par Antonine Maillet en juin 1950 ainsi que quelques textes d'analyse littéraire écrits par Ramona Godbout entre 1944 et 1946.

Le fonds atteste de l'intérêt de son créateur pour la généalogie. Il est composé d'une série de notes généalogiques. Il comprend des recherches généalogiques détaillées sur ses ancêtres paternels, les LeBlanc du 17e au 20e siècles en Acadie. En outre, le fonds comprend une monographie sur les familles Cormier et Bonnevie de Cap-Pelé - Shemogue.

Ce fonds est de nature littéraire. Il s'agit d'une collection d'une rubrique du journal « L'Aviron » de Campbellton (N.-B.), intitulée « Polidore ». La rubrique est écrite par Lorraine Diotte et se veut une réflexion un peu simpliste d'un individu défavorisé de la société qui s'appelle Polidore. Selon une critique parue dans « L'Évangéline », « Polidore, c'est l'homme anonyme qui trouve dur pour gagner sa vie » (Évangéline 17 août 1979). Le fonds est constitué d'une seule série : coupures de journaux (1976-1993).