Ce fonds contient de la correspondance que Ramona Godbout a échangée avec Cécile Maillet, Antonine Maillet, auteure, Prix Goncourt 1978 et Alphonsine Després, toutes les trois des amies qu'elle a connues durant ses années d'études chez les religieuses après la Seconde Guerre mondiale. Par exemple, des lettres d'Antonine Maillet, notamment celle où elle annonce son entrée au couvent de Notre-Dame du Sacré-Coeur en 1951. Quelques pièces concernent le théâtre en Acadie durant les années 1950. Nous y trouvons aussi un discours d'adieu prononcé par Antonine Maillet en juin 1950 ainsi que quelques textes d'analyse littéraire écrits par Ramona Godbout entre 1944 et 1946.

Le fonds est constitué de quatre séries : correspondance (1914-1946), notes généalogiques (1901-1995), activités (1914-1954) et une cassette d'un entretien avec Bernard César (2000). Nous trouvons dans ce fonds un aperçu personnel des activités d'Urbain LeBlanc, qui après avoir participé à la Première Guerre mondiale, demeura en France où il s'impliqua dans des activités socio-politiques de l'époque. Revenu en Acadie, vers la fin des années 1940, il fonda un petit journal à vocation historique et sociale «Maître Guillaume».

Ce fonds est composé de : certificat de baptême, 1921 ; notes généalogiques, 2000 ; photos, [ca 187?]-1946. Ce fonds concerne spécifiquement la famille et les descendants de Marin Gallant et Suzanne Poirier [mariés le 6 mai 1856] de Grande-Digue, Nouveau-Brunswick. Les notes généalogiques compilées par Eunice Gallant-Errara de Jamestown, Rhode Islands nous montrent sous forme de tableaux sa généalogie et les mouvements géographiques de ses ancêtres vers les États-Unis à la fin du XIXe siècle. Plusieurs photos [dont 4 ferotypes] touchent aux membres des familles Gallant et Poirier aux États-Unis ainsi qu'à Grande-Digue en 1946 lors d'un voyage auprès de parents demeurés au Canada.

Le fonds comprend des manuscrits/théatre (1975-1999). Nous trouvons dans ce fonds 16 manuscrits de pièces de théâtre écrites par l'auteur, Herménégilde Chiasson. Entre autres, nous y trouvons « Cap-Enragé », « Laurie ou la vie de galerie », « Mine de rien » et « Atarelle et les Packmaniens ».

Ce fonds est composé de correspondance ([19-?], 1909-1996), finances ([19-?], 1943-1999), papiers personnels / varia ([19-?],1880-1999), documents légaux/actes de ventes ([19-?], 1882-1997), études ([19-?], 1927-1968), généalogie / histoire ([19-?], 1910-1997), religion ([l9-?], 1893-1967), imprimés ([19-?], 1891-1982), coupures de journaux ([19-?], 1910-1997), cartes postales ([19-?], 1939-1988), (voir CEA CP336), photos ([19-?], 190?-199?), (voir CEA P336), et bande sonore ([19-?]). Ce fonds est très riche par sa variété et par ses qualités. Nous y trouvons plusieurs pièces qui concernent la famille immédiate de Dominique Léger, soit ses parents Lionel Léger et Ozélie Robichaud, Laurie Léger, son frère et son partenaire d'affaires, ainsi que quelques-uns de ses beaux-frères notamment par rapport à des ventes de propriétés. Nous trouvons aussi les notes d'études de Dominique qui termina ses cours par voie de correspondance dû à sa maladie, la tuberculose et ses séjours dans les sanatoriums. Correspondance très intéressante qui révèle le caractère d'homme d'affaires qu'était Dominique Léger. Étant un amateur de généalogie et d'histoire locale, nous trouvons plusieurs documents sur ces deux thèmes.

Le fonds atteste principalement de la profession d'homme politique et d'avocat du créateur de même que son implication dans divers domaines, tels le comité de la structuration de l'Université de Moncton et le comité du journal «Le Matin». Le fonds est constitué de trois séries : papiers personnels (1881-1999), correspondance (1931-1989) et activités professionnelles (1891-1991). Le fonds est composé de notices biographiques, de dossiers scolaires, d'actes de succession, de la correspondance avec diverses institutions relatives à sa carrière professionnelle, de discours, de la correspondance politique relative à la colonisation, à l'électrification de la campagne, à la santé, à la voirie et des élections, de la municipalité de Saint-Quentin, des partis politiques, de l'Ordre de Jacques-Cartier, de Louis-J. Robichaud, d'indemnité foncière, de l'enseignement supérieur, du journal «Le Matin», de la Société nationale de l'Acadie. On y trouve également des imprimés : ACJC, tracts fascistes, de même que des photographies et des cartes géographiques.

Le fonds est constitué de cinq séries : correspondance (1995-1997), administration (1995-1999), Congrès mondial acadien II (1999), revues/publications diverses (1995-1999), l'historique de la Fédération des Associations de Familles Acadiennes (FAFA) et son rôle dans l'organisation du Congrès mondial acadien tenu en Louisiane en 1999. Le fonds contient la correspondance du comité exécutif de la FAFA dont M. Léonard Goguen faisait partie.

Ce fonds comprend une série : discours (1999). Nous trouvons dans ce fonds trois discours du nationaliste, Jean-Marie Nadeau, tous écrits et prononcés en 1999 lors de remise de médailles et autres distinctions pour ses travaux et mérites pour l'avancement des causes nationalistes syndicalistes acadiennes. Les trois discours sont : 1. Discours lors de son admission dans L'Ordre des francophones d'Amérique (Québec, 10 mars 1999). 2. Discours du 15 août dans le cadre du 2e Congrès mondial acadien en Louisiane (15 août 1999). 3. Discours d'acceptation de la Médaille A.-M. Sormany de la Société des Acadiens et Acadiennes du Nouveau-Brunswick (SAANB) à Grand-Sault (N.-B.) le 24 septembre 1999.

Ce fonds comprend un registre de présences de l'école de Saint-André (Nouveau-Brunswick) pour l'année 1908. Il contient aussi des signatures des membres de la commission scolaire de l'époque.

Cette collection comprend une série : documents historiques pour la région de Hillsborough (1787-1999). On y trouve une requête officielle de Joseph Gray en 1787, adressée au gouvernement provincial pour l'obtention de titres de terre. Il y a mention de plusieurs Acadiens qui avaient accepté de s'établir sur ces terres. Cette collection contient aussi plusieurs notes généalogiques qui portent notamment sur la famille de David Doucet et Mathilda Nickerson mariés le 13 octobre 1843, dont Eleonore Goggins est une des descendantes.