Ce fonds permet de connaître les activités commerciales de l'industrie du taxi pendant un demi-siècle à Moncton, Nouveau-Brunswick. Il contient papiers personnels (1942-1995), correspondance (1952-1995, administration (1952-1995). Le fonds est composé de correspondance et d'archives financières avec diverses entreprises privées et publiques, par exemple avec l'aéroport de Moncton, le Canadien National, l'Université de Moncton, les hôtels dont la compagnie White Cab obtient des contrats de services. Ce fonds comprend aussi la comptabilité relative aux chauffeurs, de même qu'avec Revenu Canada.
Ce fonds comprend une série : manuscrit ([195?]). Il s'agit de la transcription dactylographiée du manuscrit « Louisbourg en l'Isle-Royale 1713-1761 », 411 pages, qui aurait été repris par Bona Arsenault et publié sous son nom en 1973 sous le titre «Louisbourg 1713-1758». Il s'agit d'une photocopie ce qui explique la piètre qualité du document.
Le fonds comprend deux séries : manuscrits (1641), imprimés (1975). Il consiste d'un inventaire après décès de Marc Lescarbot. S'y trouve aussi une gravure de la maison où il est décédé en 1642; de même que le catalogue de l'exposition Marc Lescarbot, tenue à Vervins en 1975.
Le fonds est constitué d'un journal personnel qui est une compilation d'informations varié. Nous y trouvons de l'information biographique de personnes qui ont été proches de l'auteur (dates de naissances, de mariages et de décès et des adresses), de l'information sur la température (dates de tempêtes, grandes chaleurs, semences, etc.) de même que quelques annotations historiques d'événements et aussi une explication des codes pour dire la bonne aventure (cartomancie).
Ce fonds est composé des notes généalogiques sur la famille Léger, depuis Jacques Léger dit LaRosette jusqu'au milieu du XXe siècle. Il s'agit principalement des Léger du sud-est du Nouveau-Brunswick et de quelques branches de la famille émigrées aux États-Unis [Nouvelle-Angleterre].
Ce fonds est constitué d'une série : manuscrits de sa biographie du père Camille Lefebvre (1831-1895). Nous y trouvons une version corrigée, la version finale, ainsi que les corrections apportées par les pères Clément Cormier, Anselme Chiasson et Lafrenière.
Le fonds témoigne des activités d'Eugène Gallant dans sa profession de directeur de théâtre. Le fonds est constitué de deux séries : papiers personnels (1981-1990) et activités professionnelles (1985). Il est composé de curriculum vitae, de documents financiers, de factures et reçus, de cartes d'affaires et d'une correspondance relative à la vie théâtrale à Montréal.
Ce fonds est composé de : certificat de baptême, 1921 ; notes généalogiques, 2000 ; photos, [ca 187?]-1946. Ce fonds concerne spécifiquement la famille et les descendants de Marin Gallant et Suzanne Poirier [mariés le 6 mai 1856] de Grande-Digue, Nouveau-Brunswick. Les notes généalogiques compilées par Eunice Gallant-Errara de Jamestown, Rhode Islands nous montrent sous forme de tableaux sa généalogie et les mouvements géographiques de ses ancêtres vers les États-Unis à la fin du XIXe siècle. Plusieurs photos [dont 4 ferotypes] touchent aux membres des familles Gallant et Poirier aux États-Unis ainsi qu'à Grande-Digue en 1946 lors d'un voyage auprès de parents demeurés au Canada.
Ce fonds comprend sept séries : correspondance (1909-1971) incluant des invitations, documents officiels (1902-1940), notes généalogiques ([19-?]-1972) les familles Cormier et Garon, cartes mortuaires (1942-1972), publication (1955) un album de la famille Cormier lors des fêtes du bicentenaire de la Déportation, coupures de journaux ([187?-1993]), photos ([188?]-1948) incluant les parents d'Évangéline Cormier : Aimé J. Cormier et Dina Léger, de famille à Shédiac (N.-B.) au début du XXe siècle et cartes postales de Shédiac et divers endroits des provinces Maritimes.
Ce fonds comprend deux séries : correspondance et coupures de journaux. Ce fonds nous donne un bref aperçu de la carrière d'Alfred N. Roy (père d'Évangéline Roy), en tant que rédacteur en chef du journal « L'Évangéline ». Nous y trouvons une histoire très personnelle de la famille Roy, racontée par Sr Géraldine, c.n.d., tante d'Évangéline Roy. Nous y trouvons aussi une photocopie du premier éditorial d'Alfred Roy (1 septembre 1919). Il y a aussi une lettre écrite à sa mère d'Alfred Roy d'un camp militaire en Angleterre en 1919. Les photographies se rapportent à la famille d'Alfred Roy et de ses parents, de même que la vie religieuse.